vendredi 4 mai 2012

les fesses propres & mouche ton nez ! :)

l'HNI
un ovni ?
à suivre...

un témoignage parmi d'autres...

29 janvier, 2009

Témoignage : sans couches dès le début

Classé dans : Non classé,Temoignages — hygienenaturelle @ 16:47
« J’ai entendu parler de l’HNI quand ma fille aînée avait 7 mois. Elle était en couches lavables et j’ai commencé à essayer d’« attraper » quelques pipis (ceux d’après les siestes) mais je manquais d’informations et de détermination et j’ai doucement mis cela de côté… Enceinte de mon deuxième, je me suis tout de suite documentée notamment en lisant le livre d’Ingrid Bauer. Durant ces neuf mois où j’ai porté mon enfant, je me suis préparée à l’accueillir sans couches. Pour cela, c’est simple : je n’ai sorti du stock de lavables que les langes et quelques couches profilées puis j’ai nettoyé la peau de mouton. Et j’ai acheté un pot qui se ferme hermétiquement (de type tupperware) pour la nuit. Nous avions aussi un pot de chambre en faïence, récupéré de chez grand-mère. Nous avons pu commencer l’HNI dès la naissance. Je lui mettais des langes pliés tenus par un snappi, ce qui me permettait de sentir quand c’était mouillé et ainsi me faire à son rythme et repérer les signaux. C’était en été, je n’avais donc pas de problème d’habillage. Le premier pipi a était magique : ma fille a ouvert de grands yeux, elle était étonnée par cette nouvelle sensation, et nous, nous étions émerveillés de ce pipi dans le bol… Oui, notre enfant avait à peine quelques heures et il était conscient de son besoin d’élimination. Toute la famille a suivi. Le papa surveillait les signes, les grand-mamies étaient toutes très fières de voir que je faisais comme elles avaient fait (enfin, à peu près car elles n’avaient pas conscience de communiquer ainsi) et ma maman a vite compris le truc et s’est également lancé dans l’HNI…
Pendant la tétée, j’enlevais le lange de ma fille et lui mettait un petit bol en plastique sous les fesses, car elle faisait pipi pendant la tété et surtout caca. Sinon, je la mets souvent au-dessus de la baignoire, du lavabo, en fait, de l’endroit le plus proche. Et j’essaie d’avoir toujours un récipient par pièce.
Je ne suis pas sortie pendant trois semaines avec mon bébé, car il était hors de questions de lui mettre des couches et que je ne me sentais pas assez sûre de moi. Aujourd’hui, ma fille a 9 semaines et elle est complètement sans couches. Lorsque je sors, je n’ai plus peur des accidents. Laisser mon bébé sans couche est devenu complètement naturel. Pour dépasser  ma peur du regard d’autrui quand il y a un pipi dans la rue, je pense à la juste remarque de mon mari : ce sont les autres qui devraient avoir honte de laisser leur enfant dans leur pipi… Ça me fait rire et je me reconnecte immédiatement avec ma conviction que l’enfant veut communiquer sur ses besoins d’élimination et qu’il est juste de répondre à cette demande. »
Angélique T., deux enfants



les couches lavables

¤ Les astuces de Marie :

- 2 lessives de couches par semaines, pour un roulement de 20 couches, Pour la température de lavage, 60° au quotidien et 90° en cas de maladie. Mais toutes les couches ne supportent pas les même températures, il faut se renseigner selon les modèles.


- Le pré-séchage au soleil pour blanchir les couches en cas de besoin (je n'ai pas trouvé mieux pour redonner leur blancheur aux couches souillées par les selles) et passage au sèche-linge pour finir le séchage et assouplir les couches.

- la fausse solution du trempageabandonné assez vite le trempage des couches dans un seau car cela ne les "décrassait" pas forcément mieux et compliquait le passage en machine ( la galère des couches dégoulinantes à transférer dans le lave-linge, essorage nécessaire avant le lavage ....)


- solution du stockage à secstockage à sec dans un sac spécial pour couches sales, puis prélavage et lavage, 


- talc ou pas talc ? 
à propos du talc, tombé en disgrâce à cause de son côté volatil et du risque d'étouffement qui pourrait en découler.


- le liniment oléocalcaire ; ça protège très bien de l'humidité des couches lavables en rendant la peau imperméable (forcément, c'est gras avec l'huile) et de l'acidité de l'urine (c'est basique, grâce à l'eau de chaux).  (300 ml d'huile d'olive pour 300 ml d'eau de chaux...)


La recette du liniment selon Marie : 300 ml huile d'olive Bio (c'est toujours mieux en bio, n'est-ce pas ?) que je chauffe au bain-marie pour y faire fondre 1 cuillerée à café bombée  de cire d'abeille (ça rend le liniment plus crémeux, moins liquide, mais tu peux faire sans ça, ça marche aussi, et alors inutile de chauffer !). Quand c'est fondu je sors du bain marie et je verse progressivement 200 à 300 ml d'eau de chaux (en flacon en pharmacie, ou en bidon à Ecolodève... ) tout en émulsionnant avec le pied de mixeur (celui pour la soupe). Quand l'émulsion prend une légère teinte rosée, c'est bon, c'est que tu as la bonne quantité d'eau de chaux. Tu peux le parfumer en mettant dans l'huile une ou deux gouttes d'HE de lavande ou autre qui ne craint pas pour les bébé, il faut faire attention avec ça .... mais sans HE ça sent l'huile d'olive, ça ne sent donc pas mauvais du tout (enfin si tu apprécies l'odeur de l'olive). Et puis tu peux t'en servir pour nettoyer les fesses de bébé sur tes lingettes lavables, à la place d'un lait de toilette.






Fabrication :


Les lingettes lavables
pour nettoyage du petit derrière 
& (d'autres) pour le nettoyage de la trombine du bout de Zan... (petites en forme de gouttes pour les yeux, en demi lune pour le visage, en petites boule pour les oreilles)


http://biscotti.canalblog.com/tag/Lingettes%20lavables














couches lavables :


tout d'abord : le mystère de la pose de boutons pression (snaps) :
http://www.youtube.com/watch?v=b19t845GuJs&feature=related




PATRON COUCHE XS, NOUVEAU NEZ :)
http://www.thenappynetwork.org.nz/images/shars_newborn_umbilical.pdf











Tuto 1 : couches de compétition : naissance à propreté...
http://tiloudou.fr/Tutoriels-et-Patrons/te1-a-poche-en-pul-et-micropolaire.html



Matériel :

  • 1 coupon de PUL 50x50
  • 1 coupon de micropolaire
  • 40 cm de lastin
  • 10 pressions femelles et 4 pressions mâles
  • + 2 mâles et 4 femelles si vous souhaitez faire une couche taille unique
  • 1 patron
Résultat du tutoriel: TE1 à poche en PUL et micropolaire

Pas-à-pas :


ÉTAPE 1

Tracer le patron sur l'envers du PUL et du micropolaire.
Marquer l'emplacement des élastiques sur le PUL. Puis, couper les tissus à 1,5 cm du contour.
Garder une chute de PUL pour renforcer les pressions femelles.

ÉTAPE 2

Placer les pressions femelles sur 2 lignes espacées d'environ 3,5 cm, les pressions sont espacées entre elles de 3 cm.
Attention, mettre les capuchons sur l'envers du tissu.
On peut pour faire une couche taille unique, placer 2 pressions mâles (M) et 4 pressions femelles (F) aux endroits indiqués sur la photo.

ÉTAPE 3

Coudre les deux tissus endroit contre endroit micropolaire sur le dessus. Le PUL a tendance à bouger alors il faut coudre à petite vitesse et diriger le tissu de la main gauche et le soulever légèrement de la main droite. Si vous n'y arrivez pas, vous pouvez mettre du papier journal ou toilette entre la machine et le PUL. Il s'enlèvera facilement après.
Recouper les tissus à 1 cm de la couture sauf les élastiques (environ 1 cm).

ÉTAPE 4

Pour l'ouverture de la poche, tracer un trait d'une douzaine de cm à 3 cm de la couture.
Puis couper le micropolaire en faisant attention à ne pas percer le PUL.

ÉTAPE 5

Utiliser ce point pour coudre les élastiques. Si vous ne l'avez pas sur votre machine, utilisez le point zig-zag.

ÉTAPE 6

Fixer le début de l'élastique en faisant plusieurs points sur place.
Puis coudre en tirant sur la lastin.
Pour la tension, il faut tirer le lastin entre la moitié et deux tiers de la distance entre les marques des élastiques.
Finir par un point sur place.

ÉTAPE 7

Retourner la couche sur l'endroit par l'ouverture de la poche.
A ce stade, on obtient ça.

ÉTAPE 8

Sur l'endroit, coudre un tunnel au point droit au niveau des élastiques. Il faut commencer en biais puis coudre en parallèle au bord de la couche en tendant l'élastique une fois arriver au bout de l'élastique, finir en biais.

RÉSULTAT

Finalement, mettre les pressions mâles capuchons côté PUL. Il y a 3,5 cm d'écart entre les mâles.
Voilà, c'est fini. Il n'y a plus qu'à mettre un insert.

























tuto 2 http://www.kallou.fr/blog/2007/12/couches-lavables/



Allez, je vous montre comment je les fais mes couches lavables sauce Kallou (on sait jamais, y’en a qui vont peut être avoir la révélation pour leur petits! :D ).
Voici déjà le patron en taille 2 : couche_taille2
polaire
eponge
Alors! Tout d’abord, on découpe le patron en papier. Puis, on l’épingle sur un morceau d’éponge (perso, c’est des vieilles serviettes dans lesquelles je découpe!) et on découpe en rajoutant une marge de 1 cm tout autour. C’est le moment de faire un zigzag tout autour (pas comme cette flemmarde de Kalou…).
On fait la même chose avec la polaire, on épingle, on découpe avec une marge de 1 cm tout autour, mais là pas besoin de zigzaguer, la polaire ne s’effiloche pas!
avant_retourne
1cm
Ensuite, on coud le trempeur (pour moi composé de trois couches de Chanvre, zigzaguées ensemble) à la polaire.
Personnellement, je ne met pas un trempeur trop épais, pour des questions de séchage, je préfère rajouter à postériori des inserts en microfibre.
enversenvers
On épingle les deux morceaux de polaire et d’éponge ensemble, endroit contre endroit. Puis on pique à 1 cm du bord tout autour, en se ménageant une ouverture sur le devant de la couche pour pouvoir retourner l’ensemble dans un deuxième temps.
pointelastiqueMaintenant, il est temps d’installer les élastiques, un dans le dos et deux au niveau des jambes. Ils sont marqués sur le patron. Pour les coudre, j’utilise le point zigzag élastique de ma machine ( photo à gauche) et un petit élastique classique. Pour coudre l’élastique, je commence pour le fixer à une extrémité avec un point droit. Puis je change le point de ma machine, je tire l’élastique à fond et je commence à coudre, en entrainant le tissu avec mon autre main pour l’aider à avancer (mais non, c’est pas si technique!! lol). Le mieux est de coudre l’élastique que sur une seule des surfaces, éponge ou polaire (pas comme sur ma photo, nous sommes d’accord!! hihi).
couches03cran
Voilà, les 3 élastiques sont cousus, le plus dur est fait! Avant de retourner, on crante l’ensemble du travail, surtout dans les arrondis pour que ça se mette bien une fois retourné. Puis on retourne l’ensemble comme un gant! Hopla, voilà! et il ne reste plus qu’à refermer l’ouverture, avec un point droit bien au bord. (après s’être fait squatté la place par Sakapusse, qui n’en rate pas une!! :D ).
couches02
J’aime bien terminer la couche en cousant une sorte de « gaine » autour de mes elastiques. C’est à dire, je fais un point droit à 1 cm des elastiques pour que la couche ne roulotte pas.
Et voilà!! Une belle couche lavable fait en une toute petite demie-heure!!! Elle s’attache avec un snappi, donc pas besoin de scratchs (qui abiment tout le linge). Ce n’est pas grave si les elastiques « n’elastiquent » pas énormément, ce n’est pas ici que ce fait l’étanchéité mais au niveau de la culotte! On rajoute des inserts de microfibre (ou chanvre, ou bambou, ou éponge) en fonction des besoins, et c’est parfait!! Convaincues?? J’espère!!! (j’espère que mon « super » tuto est compréhensible, surtout!! lol )









tuto 3http://larbreabebes.free.fr/Pages/p_couches_pap_TE1Aline1.htm

patron pour une couche naissance



1
Couper un patron de polaire étanche (ou de PUL) et un patron de polaire fin identiques, en laissant au moins un centimètre autour (tracer le contour du patron sur l'envers du PUL). Il faut 2 bandes de velcro doux de 13-14cm, deux bandes de velcro qui accroche de 7-8cm, deux petits bouts de velcro doux de 3cm. Garder une chute du polaire intérieur pour les velcros. Cette couche peut se faire avec différents patrons.
3
Coudre les deux grandes bandes de velcro doux sur le côté extérieur du polaire épais ou du PUL. Pour du PUL, coudre à travers le PUL + un petit morceau de polaire fin en-dessous du PUL (pour renforcer).
4
Tracer les limites de l'ouverture à l'arrière (15-18cm selon la taille de la couche) sur le polaire épais.
5
Superposer les deux patrons sur l'envers, et coudre le contour (sauf l'ouverture à l'arrière).
6
Recouper le contour de la couche en laissant 1cm là où il y aura des élastiques, 5mm ailleurs.
7
Coudre les élastiques en zigzag à l'avant et sur les côtés, entre la couture et le bord du tissu, à travers les deux épaisseurs de tissu. J'utilise de l'élastique de 7mm. Il ne faut presque pas le tendre autour des jambes, sinon une fois la couche retournée ça serre trop.
8
Voilà les élastiques cousus, on peut maintenant retourner la couche.
9
Coudre un ourlet sur le polaire épais le long de l'ouverture à l'arrière, d'environ 1cm de large.
10
Faire pareil sur le polaire fin
2
Passer l'élastique dans le tunnel formé dans le polaire épais avec une épingle à nourrice.
Coudre un bout de l'élastique à travers toutes les épaisseurs de tissu, juste au bord de l'ouverture (ça renforce le bord)
Tendre l'élastique comme souhaité (il faut pouvoir facilement glisser sa main avec l'insert dans l'ouverture), et coudre l'autre côté.
Il ne reste plus qu'à ajouter les velcros. Coudre chaque bande de velcro qui accroche sur une chute de polaire fin (on peut coudre en arrondi à un bout).
Découper juste au bord du velcro.
Poser la patte velcro qu'on vient de faire sur l'intérieur de la couche, et poser le petit bout de velcro doux de 3cm dessus (ils se superposent sur 1cm environ, et la couture est à un petit cm du bord de la couche), et coudre l'ensemble en une seule opération.
Voilà la couche terminée ! Il ne reste plus qu'à lui confectionner des inserts. Taille conseillée : environ 38x14cm pour une taille L, 35x12 pour du S ou M, environ 4 épaisseurs d'éponge, 5-6 de molleton, 6 à 12 de flannelle selon l'épaisseur (on peut les faire deux fois plus grands et les plier en deux pour les mettre dans la couche, c'est plus rapide à sécher et évite que l'épaisseur soit trop grosse pour la machine à coudre). Pour la nuit, on ajoute une double-couche classique ou un insert environ deux fois plus fin.
Vue de la couche fermée
la même en vrai sur Marine
variante à pressions et en PUL
Variante à fermeture sur l'avant (pas d'élastique à l'avant et l'ouverture de la poche est devant).

patrons pro :

couche S : 3 à 5 kg

couche M : 5 à 8 kg


couche XL : 9 à 15 kg



 










le coudre dans le tissu qu'on veut et le rendre imperméable lavage après lavage, grâce à l'utilisation de lanoline, et de glycérine...






le pas à pas du bloomer :








Epingler le patron sur l'envers du tissu plié en deux. Tracer au crayon à papier le contour.
Couper le tissu en rajoutant 1 cm pour les coutures et 3 cm pour l'ourlet du haut et 1,5 cm pour l'ourlet des cuisses pour obtenir 4 pièces (2 devant et 2 dos).









Superposer un dos et un devant endroit contre endroit.
Epingler les entrejambes. Les piquer à la machine à 1 cm du bord.
Repasser les coutures pour les aplatir. L'idéal est de faire des coutures anglaises.
Refaire ceci pour l'autre jambe.









Epingler les côtés. Les piquer à la machine à 1 cm du bord.
Repasser les coutures pour les aplatir. L'idéal est de faire des coutures anglaises.
Refaire ceci pour l'autre jambe.










Retourner une jambe et l'insérer dans l'autre. 













Superposer endroit contre endroit les bords non cousus. Epingler puis piquer à 1 cm sur toute la longueur.
Retourner. 










Faire un ourlet de 2 cm au niveau de la taille en pliant 2 fois le tissu. Le piquer à la machine en laissant une ouverture de 2 à 3 cm sur le derrière.











Passer un élastique à l'intérieur de l'ourlet avec uneépingle à nourrice pour resserrer la taille. Fermer l'ouverture soit à points glissés, soit en piquant à la machine.
Faire de même au niveau des cuisses avec des ourlets de 1 cm.
















L'apprentissage de la propreté :
(http://www.trucsdemaman.com/2011/08/le-pot-et-lapprentissage-de-la-proprete/#more-3422)




- Quand apprendre la propreté ?
C’est variable pour chaque enfant, mais on dit que quand il arrive à monter tout seul des escaliers, ses sphincters (muscles qui commandent aux fesses pour faire caca) sont prêts.



- amener votre enfant à la propreté dans la journée :
Il faut procéder par paliers, sans brusquer. Déjà, si vous avez lu l’article « Changer la couche de bébé », vous savez qu’il faut systématiquement signaler à bébé quand il a fait pipi (ou caca), par une petite exclamation rituelle, du type « Oh le joli petit pipi ! », comme cela l’enfant arrive peu à peu à comprendre que c’est lui qui génère (et maîtrise !) le pipi et le caca.



un ou deux livres traitant du sujet (ou allez à la bibliothèque). Et lisez les de nombreuses fois à votre enfant. Il en existe de très amusants, avec bruitages d’applaudissements intégrés, ou avec des gommettes brillantes à coller quand on a réussit à faire sur le pot. Donc, ne donnez pas les gommettes tout de suite, mais dites à chaque lecture: »Tu vois, quand tu auras fait pipi dans le pot, toi aussi tu auras une gommette, comme l’enfant du livre » ou »Toi aussi tu auras droit aux félicitations de toute la famille, comme l’enfant du livre: Maman dira bravo, Papa dira bravo, Tata….etc… ».


- Pavlov
-Achetez un pot avec votre enfant (ou ressortez celui de vos aînés). Pas la peine qu’ilsoit trop ludique, il ne va pas y passer des heures. Lavez le et posez le à coté des toilettes, pour que tous (et votre enfant !) le voient, et sache que c’est sa place. Quand vous rentrez avec votre enfant dans la salle de bain, montrez lui: « Tu as vu ? Ton pot est là ! ».
-Achetez avec votre enfant 2 ou 3 petites culottes ou slips très attrayants pour lui: avec ses héros préférés, avec des étoiles brillantes, ou des animaux qu’il aime. Lavez les, puis montrez lui de nombreuses fois, en lisant les livres par exemple, en disant « Oh, les joli(e)s slips (culottes) avec …, comme ils (elles) vont bien t’aller ! C’est des slips (des culottes) de grand(e), ça. Ce n’est plus des couches de bébé ! Tu pourras les mettre quand tu iras sur le pot ! ».
-l'instant T : Repérez quand votre enfant fait pipi et caca. Il est important de pouvoir le placer sur le pot juste avant les moments que vous aurez repéré.


-le grand jour : 

Quand vous avez décidé que c’est le jour J, prévenez votre enfant à l’avance: « Aujourd’hui, tu vas aller sur le pot ! »; puis plus tard, au moment repéré, allez avec lui dans la salle de bain et dites lui « C’est un bon moment pour faire pipi ! ». Ôtez la couche et installez le sur le pot. Demandez lui si il est bien. Dites lui d’essayer de faire pipi… Laissez le 5 minutes. Si cela marche, sortez le grand jeu: offrez lui la gommette comme on le ferait avec une médaille, applaudissez, rameutez toute la maisonnée, téléphonnez à Papa si il n’est pas là, prenez le pot en photo ! Si cela ne marche pas, dites lui: « Ce n’est pas grave, ce sera pour plus tard. Ca sera bien ! Tu auras une gommette (une étoile…) et les bravos de Papa, Maman…etc…Ré essayez à chaque moment repéré.
Certains enfants n’apprécient pas du tout le pot. Proposez leur un réducteur de toilettes avec un marche-pied pour atteindre les toilettes. Mon dernier né a eu le coup de foudre pour un réducteur en forme decanard, rigolo, confortable et qui ne glisse pas car recouvert de caoutchouc: « Baby ducka réducteur siège WC » pour moins de 20 Euros. On le laisse posé sur un tapis de bain à coté des toilettes, il le prend quand nécessaire…
Essayez de ritualiser au maximum le truc, pour que l’enfant soit amené à le faire tout naturellement et ne le vive pas comme un ennui, un truc qui l’arrête au milieu de ses jeux. Il y a le pipi du matin (au lever), celui d’avant aller à l’école, celui d’après manger et d’avant la sieste, celui d’avant de sortir (en balade, au manège, faire les courses…), celui d’avant de se coucher lesoir. Evidemment, on lui montre qu’on prend un nombre de feuilles de papier toilette raisonnable pour s’essuyer (on les compte avec lui, avant de l’essuyer), et on se lave toujours les mains après !
Quand la couche n’est plus mouillée, ni salie, dites solennellement « C’était ta dernière couche ! Tu vas pouvoir mettre les jolies petites culottes (slips) quenous avons acheté ensemble ! » Et passez à l’action. Si il y a des petits accidents, dites lui »Ce n’est pas grave ! Ta pépette (ton petit tuyau) n’a pas encore bien compris comment ça marche ! Quand tu sens que le pipi arrive, que tu as envie de faire pipi, tu vas vite sur le pot (sur le canard) en disant « Stop pipi ! Attends le pipi ! » Jusqu’à ce que tu soit prêt. »










"MOUCHE TON NEZ ! Dis bonjour à la dame ! " 


sérum physiologique maison :


Un sérum physiologique est un mélange d’eau, sel marin, et de bicarbonate, utilisé le plus souvent pour nettoyer le nez et les yeux de quelques infections mineurs. On n'est pas toujours obligé de vous rendre à la pharmacie pour s'en procurer, vous pouvez très bien en fabriquer chez vous, et c’est sûr et sans danger pour votre santé.
Étapes de réalisation
1
Fournitures
Il faut commencer par faire bouillir 1 litre d’eau dans une casserole, pendant environ 10 minutes, afin d’éliminer toutes les impuretés contenues dans l’eau.
Si vous ne voulez pas utiliser de l’eau du robinet vous pouvez toujours choisir de l’eau distillée à la place, mais il faut veiller à ce que l’eau soit bien bouillante pour pouvoir dissoudre le sel de mer.
2
Après avoir porté l’eau à ébullition, versez dans la casserole 2 à 3 cuillères à café de gros sel marin, et une cuillère à café de bicarbonate de soude. Et laissez au moins une minute le sérum sur le feu.
3
Pour finir, laissez le mélange se refroidir, et versez-le dans un flacon que vous avez déjà pris soin de stériliser à l’avance, puis agitez le flacon jusqu’à ce que la solution devienne claire, car cela veut dire que le sel marin et le bicarbonate de soude ont bien été dissous.
Vous voilà désormais prêt à utiliser votre sérum physiologique fait maison.


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